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    Mais où est l'info?

  • SXSW – Des sans-abri transformés en bornes Internet dans les rues d’Austin, Texas

    Voici l'idée du communicant génial : équiper treize sans-abri volontaires d'antennes à produire du réseau Internet dernier cri, puis les envoyer parcourir les rues d'Austin, Texas, où le festival technologique et musical South by Southwest (SXSW) s'est ouvert samedi.

    Les t-shirts désignaient les SDF à antenne par leur vrai prénom : "Je suis Melvin, un émetteur 4G". Le chaland en mal de connexion était invité à payer sa connexion MiFi de 4e génération via Internet, en fixant lui-même son prix. La somme serait reversée plus tard en liquide à Melvin. Cette manche des temps modernes, imaginée par l'agence britannique Bartle Bogle Hegarty  (BBH, slogan : "Quand le monde zig-zague"), a choqué.

    Une carte Google permettait de situer en temps réel les bornes humaines.

    Sur le site de l'agence, les premières réactions étaient positives, mais les moqueries n'ont pas tardé. "Ma borne Internet sans domicile fixe n'arrête pas de s'échapper", se plaignait un utilisateur en peine de réseau. "En désignant quelqu'un comme une 'borne Internet' [hotspot], vous incitez un public riche et trimballeur d'iPad à le voir comme un simple bien de consommation", poursuivait-il.

    Le site buzzfeed a retrouvé l'un des sans-abri, qui ne se plaint que de la dimension volontaire du paiement : "Je pense que ç'aurait été plus utile de connaître mon salaire à l'avance", dit-il sobrement.

    L'agence, elle, a fini par s'exprimer : son directeur de l'innovation s'est réjoui, en bon communicant, d'avoir pu faire parler du destin des sans-abri. Il a regretté ne pas avoir réussi à créer, pour des raisons techniques, une page d'accès qui aurait mené l'internaute vers un site conçu par Melvin et ses collègues. On ignore s'il leur a ouvert un compte Twitter.

      

    http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/2012/03/13/sxsw-des-sans-abris-transformes-en-bornes-internet-dans-les-rues-daustin-texas/#xtor=RSS-32280322?utm_source=twitterfeed&utm_medium=twitter


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  • édité par: Caroline Albert
    16/04/12 
    12h29  Source:afp.com

    Guidée par des satellites high-tech, une goélette des années 1930 va prochainement partir à la découverte du "septième continent", gigantesque plaque de déchets plastiques flottant sur l'océan Pacifique, grande comme six fois la France mais largement méconnue.

     

    "Choqué par les déchets rencontrés dans l'océan" lors de sa participation à la course en solitaire transatlantique à l'aviron Rames-Guyane, en 2009, l'explorateur guyanais Patrick Deixonne a décidé de monter cette expédition scientifique pour alerter sur la "catastrophe écologique" en cours dans le nord-est du Pacifique.

    Cette plaque de déchets est "située dans des eaux peu concernées par la navigation marchande et le tourisme, le problème n'intéresse que les écologistes et les scientifiques. La communauté internationale ne s'en soucie guère pour l'instant", estime-t-il. Membre de la Société des explorateurs français (SEF) qui parraine l'aventure et fondateur d'Ocean Scientific Logistic (OSL), basée à Cayenne, Patrick Deixonne explique vouloir "être les yeux des Français et des Européens sur ce phénomène".

    Plusieurs dizaines de millions de tonnes de déchets
    Les déchets s'amalgament au point de rencontre de courants marins qui s'enroulent sous l'effet de la rotation de la Terre, selon le principe de la force de Coriolis, et forment un immense vortex appelé "gyre". La force centripète aspire lentement les détritus vers le centre, une spirale qui serait l'une des plus importantes connues sur la planète: 22.200 km de circonférence et environ 3,4 millions de km2, selon le Centre national des études spatiales (Cnes) qui parraine le projet.

    "On estime à plusieurs dizaines de millions de tonnes les quantités de déchets dans chacun des cinq gyres du globe", explique Georges Grépin, biologiste conseiller scientifique d'OSL. Ce sont "essentiellement des microdéchets de plastique décomposé en suspension sur 30 mètres de profondeur. Ce n'est pas un continent sur lequel on peut marcher au sens propre", précise-t-il.

    Bouées dérivantes
    Un capteur réalisé par des élèves ingénieurs de l'ICAM (Toulouse) avec le Cnes sera testé dans une bouée dérivante. Il doit permettre à terme de distinguer dans l'eau les plastiques des planctons et autres particules vivantes, puis de cartographier les zones polluées grâce à l'imagerie satellite, ce qui serait une première mondiale.

    Douze bouées dérivantes d'études scientifiques de l'agence américaine National oceanic and atmospheric administration (NOAA), du programme d'étude des océans de l'Unesco et du projet jeunesse Argonautica (Cnes) seront également lâchées durant le parcours pour permettre à des milliers d'étudiants dans le monde de mener une étude des courants marins.

    Découvert en 1997
    La mission "Septième continent" appareillera le 2 mai de San Diego (Etats-Unis) à bord de L'Elan, une goélette à deux-mâts de 1938, pour un mois de navigation et un périple de 2.500 milles entre la Californie et Hawaï, où l'explorateur Charles Moore a découvert par hasard en 1997 cette incroyable nappe de débris plastiques.

    Jusqu'à présent, hormis un passage de la mission Tara-Océans dans la zone pour y prélever du plancton, seules deux expéditions américaines l'ont étudiée, en 2006 et 2009. La goélette sera guidée par deux satellites de la NASA, Aqua et Terra, pour se rendre là où la concentration de déchets est la plus forte afin d'en mesurer la densité, avec des prélèvements d'eau, de planctons et de matériaux.

    Ex-sapeur pompier au Centre spatial de Kourou et fin connaisseur de la forêt guyanaise, Patrick Deixonne, 47 ans, se définit comme un "explorateur d'une nouvelle génération qui doit documenter les grandes problématiques environnementales, car l'information est la clef du changement".

      

     


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  • Source: Fakir

    http://www.fakirpresse.info/

      

    À Fukushima, on en était réduit à ça : jeter de la flotte, depuis un hélicoptère, sur les réacteurs. Avant ça, BP avait bien peiné avant de reboucher son trou au large de la Louisiane. Quand un volcan islandais éternue, c’est toute l’Europe qui s’enrhume. Et même dix centimètres de neige nous mènent au bord de la panique. Alors, est-ce que le système n’arrive pas à bout ? Est-ce que, avec toute notre technologie, on n’est pas en train de rentrer à toute blinde dans le mur écologique ? On ne serait pas les premiers à se suicider par l’environnement... Des Sumériens aux Mayas, des Anasazis aux Romains, dans Une Brève histoire de l’extinction en masse des espèces (Agone, 2010), Franz Broswimmer décrit ces civilisations disparues pour cause d’ « écocide ». à nous le tour ?

    Michel Chevalet, sur i>Télé, nous cause de « turbines » , de « générateurs » , de « pressuriseurs » , de « tour aéroréfrigérante » , de « circuit primaire » , de « thermalisation des neutrons » , de « fission des noyaux » , de « fusion du cœur » , etc. On ne comprend rien à tout ce langage savant, mais cette image-là, on la comprenait bien : un hélicoptère qui, haut dans le ciel, lâchait des bonbonnes d’eau. Ça se passait au Japon, pourtant, à deux cents kilomètres de Tokyo, la « capitale du high-tech » , avec Sony, Sharp, Canon, Nikon, Toshiba, Yamaha, avec Tmsuk qui « invente le véhicule pour handicapés du futur » , avec Fujitsu qui « lance le téléphone F04-B pour afficher des vidéos, présentations et photos sur un mur » , avec le groupe informatique japonais NEC qui « travaille sur des lunettes à traduction instantanée » , etc.

    Les yeux du monde étaient braqués sur Fukushima, un monde rempli d’ingénieurs, de chercheurs, de trouveurs, d’experts en à-peu-près-tout, de doctorants hyper pointus, mais au bout du bout, les voilà tout nus, réduits à ça : un hélicoptère qui, haut dans le ciel, lâche des bonbonnes d’eau.
    Comme un vulgaire canadair pour un incendie de forêt.
    Comme un gamin qui pisse sur les braises d’un feu de bois.
    Le degré zéro de la technique.

    Y avait eu BP, déjà. Vous avez oublié ?

    Un problème de chasse d’eau, au large de la Louisiane, à 1 500 mètres sous l’eau, et 40 000 barils de pétrole qui s’échappaient chaque jour. On était, cette fois, carrément, dans la première puissance économique et militaire du monde, l’empire de la technologie, le pays de la Silicon Valley, et avec juste quoi, comme souci ? Un trou à reboucher. Durant deux mois et demi, ils ont tout essayé, tout déployé, des sous-marins, des barrages flottants, des bras robotiques, des entonnoirs d’avant-garde, quarante-neuf bateaux, avec la ribambelle des techniciens de haut vol, les meilleurs Géo Trouvetou de la planète qui menaient l’opération « Top Kill » pour finalement, impuissants, se déclarer « anéantis, littéralement dégoûtés » .

    Eyjafjöll, aussi.
    Mais si, vous savez, ce volcan islandais. Il éternue, et voilà toute l’Europe qui s’enrhume, toute son élite qui panique, ses avions qui sont cloués au sol, les vacanciers en colère, « les marchandises qui périssent » , « les pièces de rechange non acheminées » , un « scénario -catastrophe » , une perte de 150 millions d’euros pour les cinq premières compagnies aériennes, 650 millions de dollars pour l’économie américaine, etc.

    Et dix centimètres de neige, cet hiver ?
    Des « naufragés de la route » par milliers, les TGV à l’arrêt, les aéroports bloqués – et, au moment de Noël, un « impact sur les ventes entre 1 et 5 % pour la grande distribution » .

    Tout ça, en à peine un an.

    C’est comme si, notre système, qui paraît si solide, si intelligent, avec ses réseaux wifi, ses satellites, ses puces électroniques, eh bien, c’est comme si un rien, quelques flocons, un volcan qui pète, un séisme, suffisaient à le gripper, ce système. Comme s’il ne s’agissait que d’un colosse aux pieds d’argile, prêt à s’écrouler, d’un coup. Avec la technologie comme talon d’Achille. Elle qui fait notre force, notre puissance, en apparence. Mais dont nous sommes devenus dépendants pour chacun de nos gestes (pour écrire, même, tiens, à l’instant – sur ce clavier relié à une centrale).

    À chacun de ces épisodes, j’ai songé à un livre : Une Brève histoire de l’extinction en masse des espèces (Agone, 2010). Et plus particulièrement, à un chapitre de ce livre, le deuxième, « les bévues écologiques de l’Antiquité » . L’auteur, Franz Broswimmer, un universitaire américain, y raconte comment des civilisations, sans doute les plus sophistiquées de leur temps, ont disparu – et en partie à cause, justement, de leurs sophistications. La question, en lisant ça, revient, lancinante : est-ce qu’on emprunte le même chemin, de l’ « écocide » au suicide ? Est-ce que, aveugles, amnésiques, on est condamnés à répéter la même histoire – mais au niveau global, désormais ? Est-ce que plus de technique, constitue la solution (pour une croissance propre, pour plus de sécurité, etc), ou au contraire le problème ?

    La chute par le sel

    Les Sumériens.Sud-ouest asiatique, 3700 à 1600 avant J.C.

    C’était le « jardin d’éden » de la Bible, au départ, on suppose. Avec sa faune, ses moutons à longue queue dans les marais, ses oiseaux à chasser entre les fleuves. Avec sa flore, aussi, ses vignes, les grands jardins de Babylone qui donnent des légumes en abondance. Si cette culture s’avère prospère, c’est grâce, notamment, à l’irrigation. Qui sera la force, mais aussi la faiblesse, des Sumériens. Avec les bons rendements de ses terres, environ 10 % de la population est libérée des travaux agricoles. Dans les villes, naît une société hiérarchisée : une classe supérieure de prêtres et de guerriers, une classe moyenne de marchands et d’artisans. Et des intellectuels, aussi, sans doute : les Sumériens inventent la roue, cartographient des constellations célestes, mettent au point un système arithmétique (en base 60, d’où nos heures de 60 minutes, nos minutes de 60 secondes). Et pour nourrir ces bouches, pour payer leurs impôts, pour exporter, bref, pour que le système tourne, il faut que les paysans produisent en quantité. De plus en plus.

    Mais, justement, l’inverse se produit : les récoltes de blé diminuent. C’est que les sols irrigués se salinisent. On passe donc à l’orge, plus tolérant au sel. Là encore, les moissons déclinent. On sur-irrigue pour compenser. On raccourcit les cycles de jachère – et le problème s’accentue. On déforeste, du coup, pour cultiver de nouvelles terres. Pour bâtir des maisons, également. En quelques siècles, les limites de l’expansion sont atteintes. Les rendements tombent de plus de 40 %. L’agriculture s’effondre – et la civilisation sumérienne avec.

    À Koudougou3 600 ans plus tard (environ), je rencontre le père Maurice Oudet, missionnaire au Burkina Faso, en séjour à Paris. Et que me raconte-t-il ? « Nous rencontrons des difficultés avec la préservation des sols. Le système traditionnel fonctionne jusqu’à 30 habitants au kilomètre carré. à 60, si vous n’avez pas changé de système, c’est la catastrophe. C’est que vous avez, en fait, changé de système, mais sans le savoir : vous avez aboli la jachère. Avant, un terrain était cultivé trois années de suite, puis le paysan partait ailleurs. Maintenant, à Koudougou, il n’y a plus de jachère. » J’avais l’impression qu’il me causait de la Mésopotamie…

    Extrait du livre : Dans ces premières civilisations, remarque Franz Broswimmer, « la structure sociale hiérarchique modifie les relations des hommes avec leur environnement. On maximise la production en augmentant la productivité des terres agricoles ou les surfaces cultivées. Accroître la superficie cultivée conduit à défricher des zones boisées, à assécher des marais, et à mettre en culture des terres marginales sensibles à l’érosion et à d’autres formes de dégradations écologiques. L’avènement de sociétés agricoles complexes distend et, souvent, affaiblit le lien entre les hommes et la nature. Celle-ci, normalement milieu de vie de l’agriculteur, devint pour le groupe dominant une sorte d’ensemble de ressources économiques à gérer et à manipuler. Cela est particulièrement vrai des civilisations où les classes dirigeantes sont citadines, comme dans l’Antiquité gréco-romaine. En effet les Grecs, et plus tard les Romains, ne réussissent guère mieux que les Sumériens à produire une civilisation écologiquement durable. »

    La course au bois

    Les Grecs. Méditerranée, 70 à 30 avant J.C.

    « Ce qui subsiste aujourd’hui, comparé avec ce qui existait autrefois, est comme le squelette d’un homme malade. Toute cette terre grasse et molle s’étant épuisée, il ne reste que le squelette décharné du pays. » Une tristesse saisit Platon lorsqu’il regarde son pays. C’est qu’à Athènes, les 100 000 habitants souffrent – déjà – de l’encombrement, du bruit, de la pollution de l’air, de l’accumulation des déchets, des épidémies. Et dans les campagnes alentours, les forêts sont grignotées.

    Pourquoi faire ? La guerre, surtout. Les arbres sont transformés en armes, ou en navires. Dès le milieu du Vème siècle avant J.C., l’Attique est largement déboisée — et les Grecs vont s’en aller, plus loin, toujours plus loin, chercher cette ressource. Comme d’autres le pétrole. Les diplomates athéniens mènent une politique extérieure agressive : à la Macédoine, région forestière, ils font signer des accords avantageux – et quand leurs partenaires refusent, ce sont de nouvelles batailles. Des colons, ou des religieux, sont envoyés sur les côtes boisées d’Italie. Vers la Sicile, le général Alcibiade tente un raid pour accéder à de nouvelles forêts : l’expédition échoue mais, avant la fin de l’Antiquité, les hautes futaies de l’île seront néanmoins rasées. Et derrière, en Grèce, rien ne repousse : les chèvres, ces « sauterelles à cornes » , dévorent le moindre arbuste...

    Extrait du livre : « Le déclin d’Athènes, conclut Franz Brozwimmer, peut donc être lié à son incapacité à entretenir l’écosystème forestier. De grandes parties de ces régions sont maintenant des déserts stériles, la plupart des cités anciennes sont abandonnées, et la population locale actuelle ne garde bien souvent qu’un bref souvenir conscient de son passé social et écologique. Certes, les conflits civils, la guerre, la famine et la maladie ont contribué à la disparition des civilisations anciennes, mais l’appauvrissement de leurs ressources biologiques est l’une des causes principales de leur déclin. La pénurie d’eau et le changement climatique ont dans nombre de cas donné le coup de grâce. »

    Lire la suite : 4000 ans de Fukushima (partie II)

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        Ethiopie.jpeg
     
    Milliardaires et méga-sociétés derrière un immense accaparement de terre en Afrique.
     

    20 pays africains vendent ou  louent des terres pour l’agriculture intensive sur une échelle choquante dans ce qui pourrait bien être le plus grand changement de propriété depuis l’époque coloniale.
      
     

    Par John Vidal
     
    11 mars 2010 "Mail & Guardian" - Awassa, Ethiopie - Nous avons quitté la route principale à Awassa, avons négocié notre chemin avec gardes de sécurité et parcouru un mile à travers un terrain vide avant de trouver ce qui sera bientôt la plus grande serre de l’Éthiopie. Au pied d’un escarpement de la vallée du Rift, le développement est loin d’être terminé, mais la structure de le plastique et d’acier s’étend déjà plus de 20 mille hectares - la taille de 20 terrains de football.

    Le gestionnaire de la ferme nous montre des millions de tomates, poivrons et autres légumes cultivés en lignes 1500 pieds dans des conditions contrôlées par ordinateur. Des Ingénieurs espagnols sont en train de construire la structure d’acier, des technologies néerlandaises minimisent l’utilisation des eaux de deux forages et 1.000 femmes récoltent et emballent 50 tonnes de nourriture par jour. Dans les 24 heures, la production sera conduite 200 miles plus loin à Addis-Abeba et expédiée par avion à plus 1,000 miles de distance pour des commerces et des restaurants de Dubaï, Djeddah et ailleurs au Moyen-Orient.
      
    Les mille hectares de terres qui contiennent les serres Awassa sont loués pour 99 ans à un homme d’affaires milliardaire saoudien, d’origine éthiopienne, Cheikh Mohammed al-Amoudi, l’un des 50 hommes les plus riches au monde. Sa société Star d’Arabie prévoit de dépenser jusqu’à 2 milliards de dollars, en acquisition et développement des 500 000 hectares de terres en Éthiopie dans les années à venir. Jusqu’à présent, elle a acheté quatre fermes où elle cultive déjà du blé, du riz, des légumes et des fleurs pour le marché saoudien. Elle prévoit à terme d’employer plus de 10.000 personnes.

    Mais l’Ethiopie n’est qu’ un parmi une vingtaine de pays africains où les
    terres sont achetées ou louées pour l’agriculture intensive sur une échelle immense dans ce qui peut devenir le plus grand changement de propriété depuis l’époque coloniale.
      
    Lire la suite sur:
      

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  • Insolite 

     

     

    - A l'origine, le Coca-Cola était vert. 

     

    - Il y a chaque jour plus de billets imprimés pour le Monopoly que pour le Trésor US. 

     

    - Les Hommes peuvent lire une plus petite écriture imprimée que les Femmes, par contre les Femmes entendent mieux. 

     

    - Pourcentage du continent africain encore sauvage : 28%

    - OK ? Maintenant écoutez ça : pourcentage
    du continent nord-américain encore sauvage : 38%
     

     

    - Les plus jeunes parents au monde avaient 8 et 9 ans
    et vivaient en Chine en 1910.
     

     

    - Le plus jeune Pape était âgé de 11 ans. 

     

    - Sur tous les jeux de cartes, les 4 Rois représentent
    les 4 Grands Rois de l'Histoire :


    Pique : le Roi David / Trêfle : Alexandre Le Grand / Coeur :Richard Coeur de Lion / Carreau : Jules César 

     

    - 111.111.111 x 111.111.111 = 12.345.678.987.654.321 

     

    - Lorsque vous croisez une statue équestre dans un parc, si le cheval a ses 2 jambes avant en l'air, le personnage représenté est mort au combat. Si une jambe est en l'air, le personnage est mort des suites de blessures reçues au combat. Si les 4 jambes sont au sol, le personnages est mort de causes naturelles (pas au combat). Au passage, le cheval a des jambes, et non des pattes. 

     

    - Qu'est-ce qui se produit le plus au mois de Décembre que dans n'importe quel autre mois ? la conception. 

     

    - Si on épelle tous les nombres en anglais (one, two, three, four, ...) jusqu'où faut-il aller pour trouver la lettre A ? 1000 (one thousAnd) 

     

    - Qu'ont en commun les gilets pare-balle, les escaliers
    de secours, les essuie-glace, les imprimantes laser ? Tous ont été inventés par des femmes.
     

     

    - Quel est le seul aliment qui ne se gâte pas ? Le miel 

     

    - Une coutume vieille de 4000ans, à Babylone, voulait que pendant le mois qui suivait un mariage, le père de la mariée devait offrir à boire à son beau-fils autant de mead qu'il pouvait. Le mead était une bière à base de miel, et comme le calendrier était basé sur les cycles lunaires, cette période était appelée le mois du miel, et d'où, de nos jours la Lune de Miel ! 

     

    - Sous l'Ancienne Angleterre, si on n'était pas membre de la famille royale, on ne pouvait pas avoir de relations sexuelles sans l'accord du Roi. Pour avoir un bébé, il fallait demander audience auprès du Roi, qui vous remettait un panneau à clouer sur votre porte pendant le rapport. Sur le panneau était écrit F.U.C.K. pour Fornication Under Consent of King. Vous connaissez maintenant l'origine de ce mot. 

     

    - Les Ecossais ont inventé un jeu il y a des
    années. Il était intitulé :


    Gentlemen Only, Ladies Forbidden (Reservé aux
    Hommes, Interdit aux Femmes)...


    G.O.L.F ! c'est ainsi que ce mot est entré
    au dictionnaire !

     

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  • Puerta del sol

    Près de 20 000 personnes ont manifesté cette nuit à Madrid contre la
    crise financière, les politiques et les banques au cri de “la vraie
    démocratie tout de suite”.

      


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  • Le Best Of de la xénophobie politique de certains membres de notre gouvernement.

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  • Insolite

    Le réacteur n°3 de Fukushima qui vient d'être secoué par une explosion
    fonctionne au MOX. C'est là une différence majeure avec Tchernobyl qui
    utilisait des combustibles nucléaires traditionnels.

    Les officiels japonais nous expliquent que le risque à Fukushima n'est en rien comparable à celui de Tchernobyl.

    C'est sans doute vrai mais pas forcément dans le sens que l'on pense.

     

    Lire l'article sur Agoravox

    http://www.agoravox.fr/actualites/environnement/article/fukushima-n-est-pas-tchernobyl-90558 

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