• Je pense donc ... je suis en dep

    jE PeNSE DoNc je suiS ... eN deP

  • Qui mieux que le président...parle le français?

      

      

    « J'aime passionnément la langue française, je ne sais pas en quoi il la malmène. Je pense qu'il s'exprime plutôt bien, que c'est un des meilleurs orateurs politiques actuels »

     

    Jean François Copé - Secrétaire Général de l'UMP

     

     

     

    Voici quelques illustres exemples de la maitrise du langage dont on critique injustement notre cher Président de la République française, Nicolas Sarkosy:


     

    « Nous sommes la dernière génération qui peuvent sauver le monde » (entretien télévisé 25 janvier 2010)

     

     

     

    « Si on dit plus qu’est-ce qui va et qu’est-ce qui va pas... » (entretien télévisé 25 janvier 2010)


     

    « Ce sont nos principals concurrents, nos principals partenaires » (entretien télévisé 25 janvier 2010)


     

    « J'ai pas été élu pour augmenter les impôt, moi. Si on veut augmenter les impôts dans notre pays, hein, y a tellement de candidats pour les augmenter, vous aurez l'embarras du choix aux prochaines élections. (...) Si y en a que ça les démange d'augmenter les impôts, ils oublient qu'on est dans une compétition (...) J'suis quelqu'un qui dit ce qui pense. Et ça s'arrange pas. J'avais pas prévu de vous dire tout ça mais ça m'a fait plaisir. » (Ornans, 17 mars 2009) 

     


    « Vous savez dans la crise...(silence) y a beaucoup de gens qui perdent leur sang-froid. Surtout parmi les élites. (Silence) C't' une grande caractéristique. (Silence) On se demande parfois, plus y z'ont fait d'études... (Silence) A part Patrick. Mais franch'ment, par moments, on s'demande c'est à quoi ça leur a servi toutes ces années pour avoir autant de mauvais sens ! » (Ornans, le 17 mars 2009)

     

     

    « Qu’est-ce que je m’aperçois ? » (Ornans, le 17 mars 2009)


     

    "Chui candidat" (entretien télévisé 17 février 2012)

     

     

    « J’écoute mais j’tiens pas compte ! » (Provins, 20 janvier 2009)

     

     

     

    « On commence, avec Roselyne, par les infirmières parce qu'ils sont les plus nombreux. » (Rambouillet, 13 mars 2009)

     

     

     « Les Français ne sont jamais été privés plus de deux jours de carburant. » (entretien télévisé, 16 novembre 2010)

     

     

    « Les États-Unis le font, le Canada le fait, l'Australie le fait, l'Angleterre le fait, l'Allemagne le fait, les démocraties du nord de l'Europe le fait. » (France 2, 16 mai 2006)

     

     

    « Toutes les démocraties dans le monde, toutes - et je veux que ceux qui nous écoutent le comprennent - choisissent l'immigration, l'immigration choisie. Nous sommes la seule qui ne le faisons pas. » (TF1, 27 avril 2006)

     

     

    « Quelles qu'avaient pu être avant la guerre leurs opinions, ils se batturent tous, au fond, pour la même idée de la liberté, la même idée de la civilisation, la même idée de l'homme. » (au fond – mais tout au fond – de la France libre de toute conjugaison, 18 juin 2010)

     

     

    Nicolas Sarkozy excelle également dans l'art des sentences absconses, absurdes ou exprimant précisément l'inverse de ce qu'il voulait dire:

     

    « On ne doit pas laisser mourir les gens comme des bêtes. D'ailleurs, les bêtes sont des êtres humains. » (Bourges, 24 juin 2008)


    « Ce que j'ai découvert, c'est que, alors que nous sommes dans l'Otan, car nous y sommes, y a bien peu de personnes qui le savent. » (Paris, 11 mars 2009)

     

     

    « On peut aussi me dire qu'il a plu au mois de novembre » (Entretien télévisé, 16 novembre 2010)


     

    « Je dois la vérité de dire. » (Discours sur le grand emprunt, Palais de l'Elysée, Paris, le 14 décembre 2009).

     

     

    « Les conseilleurs ne sont pas les payeurs... »

     

     

    « Quand je vois l'étendue des conseils que je reçois chaque jour, ça me donne pas envie de les suivre » (Daumeray, 19 février 2009)

     

     

    « Ce que je propose, c’est pire » (débat avec Ségolène Royal, le 2 mai 2007)

     

     

    « Je veux mettre au service des injustices plus de moyens » (France 2, 31 mai 2005)

     

     

    « Casse-toi, Casse toi pôv con, va » (Salon de l'agriculture Paris, 23 février 2008)

     

     

     « Dans les critiques qui me sont faites, celle qui m'a le plus touché, et qui m'interpelle le plus, c'est celle qui voit une partie des Français se dire : "Au fond, il fait une politique pour quelques uns et pas pour tous". Si les Français croient ça, et ils ont raison de le croire, je dois en tirer des conséquences immédiates. » (Entretien télévisé, 24 avril 2008)

     

     

    -Sarközy : « Je vous amène le beau temps »

    -Un pêcheur : « En Bretagne, il pleut que sur les cons »

    -Sarközy : « Eh bien, il doit pleuvoir souvent ! » (Guilvinec, 6 novembre 2007)

     

     

    « Je me fous des Bretons »

     

     

    « Chère Christine Lagarde, Cher Hervé Novelli, Cher Luc Chatel, Monsieur le Président du Conseil général, Monsieur le Maire, Mesdames et Messieurs les parlementaires, Madame la Sénatrice, Monsieur le Sénateur, et tous ceux qui sont importants, bonjour, Mesdames et Messieurs. » (sans lieu ni date : ce discours est très curieusement inaccessible sur le site de l’Elysée)

     

     

    « La taxe professionnelle n’existe nulle part partout en Europe » (Paris, Palais de l'Elysée, 14 décembre 2009)

     

     

    « Ma détermination n'a rien changé » (entretien télévisé, 16 novembre 2010)

     

     

    « L’écologie, c'est pas qu'y ait que des jardins et plus de boulot pour vos enfants et pour vous »

     

     

    « Quand, à la télévision, [Mitterrand] a dit "Contre le chômage on a tout essayé", on a dit : "Mais pourquoi t'y es là haut ?" » 

     

     

    « C'est moi qui ai choisi le Premier ministre, c'était donc une bonne décision. » (Le Parisien, 26 février 2008)

     

     

    « Je suis entouré d'une bande de connards ! »

     


    « L'important dans la démocratie, c'est d'être réélu. »


     

    « Il faut des règles pour les transgresser »

     

     

    « Je ne crois pas que jamais personne n'ait pu me reprocher un scandale quelconque. » (entretien télévisé, 16 novembre 2010)

     

     

    « C'est toujours comme ça une campagne : on promet pour être élu et après on déçoit. » (La Réunion, 16 février 2007)

     

     

    « J'ai beaucoup souffert sur La Princesse de Clèves…»

     

     

    « Dans le monde, la seule voix qui a porté, c’est la mienne »

     

     

    « Faut qu'il en reste dans la gamelle à la fin du mois, pas vrai ? » (entretien télévisé, 24 avril 2008)

     

     

    « L'homme n'est pas une marchandise comme les autres. » (Saint-Etienne, 9 novembre 2006)

     

     

    « Tu as de la chance, Philippe (De Villiers), toi tu aimes la France, son histoire, ses paysages. Moi, tout cela me laisse froid. »

      

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  • Un homme à femmes, c'est un séducteur
    Une femme à hommes, c'est une pute

    Un entraîneur, c'est un homme qui entraîne une équipe sportive
    Une entraîneuse, c'est une pute

    Un professionnel, c'est un sportif de haut niveau
    Une professionnelle, c'est une pute

    Un gagneur, c'est un homme qui réussit
    Une gagneuse, c'est une pute qui rapporte

    Un masseur, c'est un kiné
    Une masseuse, c'est une pute

    Un homme qui fait le trottoir, c'est un paveur
    Une femme qui fait le trottoir, c'est une pute

    Un courtisan, c'est un homme qui est proche du roi
    Une courtisane, c'est une pute

    Un gars, c'est un jeune homme
    Une garce, c'est une pute

    Un péripatéticien, c'est un adepte de la doctrine d'Aristote
    Une péripatéticienne, c'est une pute

    Un homme public, c'est un homme connu
    Une femme publique, c'est une pute

    Un homme facile, c'est un homme agréable à vivre
    Une femme facile, c'est une pute

    Un homme sans moralité, c'est un politicien
    Une femme sans moralité, c'est une pute

    Non le français c'est pas difficile

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  • Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
    j’ai compris qu’en toutes circonstances, j’étais à la bonne place, au bon moment.
    Et alors, j’ai pu me relaxer.
    Aujourd’hui je sais que cela s’appelle… l’Estime de soi.
     
    Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
    j’ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle n’étaient
    rien d’autre qu’un signal lorsque je vais à l’encontre de mes convictions.
    Aujourd’hui je sais que cela s’appelle… l’Authenticité.

    Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
    J’ai cessé de vouloir une vie différente et j’ai commencé à voir que tout ce qui m’arrive
    contribue à ma croissance personnelle.
    Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… la Maturité.

    Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
    j’ai commencé à percevoir l’abus dans le fait de forcer une situation ou une personne, dans  le seul but d’obtenir ce que je veux, sachant très bien que ni la personne ni moi-même ne sommes prêts et que ce n’est pas le moment.
    Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… le Respect.

    Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
    j’ai commencé à me libérer de tout ce qui n’était pas salutaire, personnes, situations, tout ce qui baissait mon énergie.
    Au début, ma raison appelait cela de l’égoïsme.
    Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle…. l’Amour propre

    Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
    j’ai cessé d’avoir peur du temps libre et j’ai arrêté de faire de grands plans, j’ai abandonné les méga-projets du futur.
    Aujourd’hui, je fais ce qui est correct, ce que j’aime quand cela me plait et à mon rythme.
    Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… la Simplicité.

    Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
    j’ai cessé de chercher à avoir toujours raison, et je me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis trompé.
    Aujourd’hui, j’ai découvert… l’Humilité.

    Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
    j’ai cessé de revivre le passé et de me préoccuper de l’avenir.
    Aujourd’hui, je vis au présent, là où toute la vie se passe.
    Aujourd’hui, je vis une seule journée à la fois.
    Et cela s’appelle… la Plénitude.

    Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
    j’ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir.
    Mais si je la mets au service de mon cœur, elle devient une alliée très précieuse !
    Tout ceci, c’est… le Savoir vivre.

    Auteur: Charlie Chaplin

     Le jour où je me suis aimé pour de vrai

     

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  • Des centaines de millions d'euros sont mis en jeu, vos chances de cocher les bons numéros sont minces, très minces...

    Euro Millions 

     

    Des centaines de millions sont mis en jeu à l'Euro Millions. Quelque part dans un des neuf pays d'Europe où les joueurs peuvent valider leurs grilles, un chanceux décrochera peut être la cagnotte record du jeu de tirage, jusqu'ici détenue par un anglais et son gain de 129.818.431 euros en octobre 2010. Il n'est pas interdit de rêver, mais les chances de décrocher le jackpot sont faibles, très faibles : vous n'avez qu'une chance sur 116 millions de cocher les sept bons numéros (une sur 116.531.800 très exactement).
    Décrocher le jackpot, c'est tout le bonheur qu'on vous souhaite, mais vos chances de vivre un événement insolite dans le cours de votre vie sont bien plus élevées. Jugez plutôt.
    Vous avez plus de chances d'être touché par un astéroïde que de remporter le gros lot. Un chercheur américain estime qu'un humain a une chance sur 720.000 d'être touché par un corps céleste.
    Au Canada, des chercheurs ont établi que vous aviez autant de chances de gagner au loto local que de tomber sur le bon numéro de téléphone en choisissant au hasard un seul numéro parmi 14 annuaires.
    Moins veinard, et ça on ne vous le souhaite surtout pas : vous avez plus de chances d'être frappé par la foudre (1 chance sur 250 000) que de gagner à l'Euro Million. Quant à mourir de ce "coup de foudre", la probabilité est de une sur 56.439.
    Vous avez 100% de chance de mourir mais la probabilité de disparaître après avoir été attaqué par un ou plusieurs chiens est d'une chance sur  119.998. Dans le même genre, vous avez plus de chances de mourir dans un accident de la route en conduisant à 16 km/h pour acheter un billet que de gagner le gros lot.
    Pas avares en statistiques inutiles, les Canadiens nous apprennent également que vous avez plus de chances de mourir de la maladie mangeuse de chair (une sur un million) que de gagner à la loterie.
    Il est des hasards heureux comme gagner le jackpot, il en est d’autres qui le sont beaucoup moins : “Je sais que mon père avait plus de chances de gagner à l’Euro Millions que de mourir comme-ça", déclarait en 2010 un homme dont le père était décédé heurté par une dame qui s’est jetée du haut d'un immeuble. Là, on n'a pas les statistiques.
            

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